Mise au point depuis trois ans, elle permettra d’évaluer tous les signes vitaux des prématurés. “Nous avons tenu à ce qu’elle soit contrôlée à partir d’un portable”, témoigne auprès de l’AFP Serge Armel Njidjou, un des inventeurs de cette couveuse.
Ces couveuses ont déjà été installés dans de nombreux hôpitaux.
Madame Ahanda ne quitte pas des yeux sur le petit écran son nourrisson, très frêle, nourri grâce à une sonde dans son nez. Dans une autre pièce, le docteur Anicet Pangop, médecin chef de l’hôpital African Genesis Health à Yaoundé, surveille le même bébé sur un téléphone.