Le ministre Aka Aouélé a justifié cette interdiction à cause d’un « niveau élevé de la mortalité maternelle, néonatale et infantile liée à l’insuffisance de la qualité des soins, d’une part, et une dégradation de la qualité des services dans les établissement sanitaires et plus particulièrement dans les maternités », dans une note de son cabinet, datée du 15 janvier 2021